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Pour les voyageurs à mobilité réduite

  1. PHOTO FOTOLIA

    1 .Les voyages organisés proposent des circuits clé en main et offrent presque toujours la présence d’un accompagnateur. Cette présence rassure les anxieux et ceux dont la condition physique est défaillante, mais il faut pouvoir suivre le groupe.

  2. Les longs séjours sont un bon compromis pour ceux qui souhaitent visiter à leur rythme. On peut louer une maison, un appartement ou une auto et s’installer pour quelques semaines ou quelques mois dans un nouvel environnement. Cette immersion permet d’approfondir une région, de faire de nouvelles connaissances, d’apprendre une langue et surtout on y va à son rythme.
  3. Les tout-inclus offrent maintenant de longs séjours dans de petits appartements comprenant cuisinette et salon. De nombreux forfaits (avec ou sans repas) sont disponibles. On peut bénéficier de toutes les installations du complexe hôtelier et choisir sur place les excursions qui conviennent à notre état.
  4. Les croisières. La grande majorité des navires, que ce soit pour les croisières classiques, sur fleuve ou de type expédition, disposent de cabines adaptées. De plus, un médecin est à bord (sauf pour les croisières fluviales qui naviguent toujours près des villes), ce qui est très rassurant. Des excursions, généralement bien identifiées par une petite icône, ont été pensées pour les croisiéristes ayant des limites. L’équipage se montre très respectueux et met tout en branle pour que l’expérience soit mémorable. Enfin, si les sorties s’avèrent trop difficiles ou fatigantes, on profite alors de la vie à bord.

Les transports

Les intervenants touristiques sont bien conscientisés à l’importance d’offrir un service adéquat, des infrastructures et des équipements accessibles aux voyageurs

  • Les taxis – Lorsqu’on appelle un taxi, on mentionne toujours sa limitation physique, surtout si cette dernière exige une auto de plus grande dimension ou adaptée.
  • Les avions – Toutes les compagnies ont une section « Besoins spéciaux » qui vient en aide aux voyageurs et répond à leurs besoins.
  • Les autobus – La seule exigence serait de prévenir, au moins 48 h à l’avance, si l’on voyage en fauteuil roulant ou si l’on a des besoins particuliers. Lors d’un voyage de groupe, il faut, bien entendu, prévenir l’agence de voyages et l’accompagnateur.
  • Les trains – Les services adaptés diffèrent d’une région à l’autre et d’un pays à l’autre. Il vaut mieux se présenter à l’avance à la billetterie. Avant de se lancer dans un long voyage, il faut bien connaître ses limites et ses besoins. Pour cela, le mieux est de tester ces derniers à peu de distance de chez soi, dans un environnement familier où l’on se sent confiant.

Ce texte a d’abord été publié, le samedi 12 aout 2018, dans la chronique Conseils aux lecteurs, du Journal de Montréal ICI et du Journal de Québec ICI

5 trucs pour se préparer à une tempête

Lorsque la météo donne un Avertissement de tempête, comme c’est le cas cette semaine, il vaut mieux prendre ses précautions et bien se préparer avant même de se rendre à l’aéroport. Voici 5 trucs.

1. On télécharge l’application de la compagnie d’aviation avec laquelle on a nos billets et celle de l’aéroport (YULi pour l’aéroport de Montréal et YQB pour l’aéroport de Québec) sur sa tablette ou son cellulaire. Il suffit d’inscrire le vol que l’on doit prendre pour être informé en temps réel des retards ou des annulations. Indispensable !

2. On part plusieurs heures à l’avance, quitte à réserver une nuit dans un hôtel près de l’aéroport. Non seulement on ne risque pas de se retrouver à rouler dans la tempête aux prises avec un stress intense, mais en cas d’annulation, il sera plus agréable d’attendre dans ces lieux. Des navettes peuvent ensuite nous conduire à l’aéroport et venir nous chercher à l’arrivée, pendant que notre automobile demeure dans leur stationnement.

3. On met un soin tout particulier à préparer son sac de cabine. Dans ce dernier, on prévoit des trucs à manger (noix, barres tendres, etc.) en plus grande quantité que d’habitude. On n’oublie surtout pas tous les médicaments dont on peut avoir besoin et des choses pour passer le temps (tablettes, livres, jeux) en cas d’attente prolongée. On y met également une couverture, un oreiller de voyage et un masque pour les yeux pour toute la famille. Enfin, des bouteilles vides que l’on peut remplir d’eau sur place.

4. Dès que nos applications nous informent de l’heure de départ de notre vol, on réserve notre passage prioritaire à la sécurité (pour tous les départs, sauf à destination des États-Unis). 24 h avant l’heure de son vol, il suffit de réserver en ligne (maximum 5 personnes) et de confirmer son inscription en répondant à un message SMS. Bien entendu, il faut se présenter à l’heure prévue dans la ligne Secur Express (www.admtl.com/fr/vols/secure_express).

5. Avec toutes les modifications de vol et d’horaire, le risque de perdre ses valises augmente. On prend donc la précaution de placer, sur ses valises, une étiquette (et même deux) avec notre adresse, mais également l’endroit où l’on se rend. De plus, à l’intérieur de ces dernières, directement sur le dessus, on glisse une grande feuille avec nos noms, numéros de téléphone et courriels, bien visibles. Protection supplémentaire, à l’aide de son cellulaire, on les photographie de même que les reçus de réclamation. Ainsi, en cas de perte, on les retracera plus facilement.

Cet article a d’abord été publié dans la chronique Voyager sans souci du Journal de Montréal ICI et du Journal de Québec ICI

10 comportements qui énervent les agents de bord

On critique souvent les agents de bord, mais on oublie trop souvent que leur travail n’est pas toujours facile. Si les voyageurs ne se gênent pas pour formuler des plaintes à leur sujet, ils en auraient également long à dire sur la façon d’agir discutable de certains passagers. Le comparateur de vols et de d’hôtels Jetcost a fait une sélection de dix comportements qui non seulement les agacent, mais dérangent les autres et/ou peuvent représenter un danger.

1 – Les moqueries à propos des mesures de sécurité.
Lorsqu’on voyage fréquemment, on connait par cœur les gestes expliquant les mesures de sécurité et montrant les issues de secours, l’emplacement des gilets de sauvetage, etc. Ce n’est pas une raison pour tourner en ridicule cette partie de leur travail.
2 – Monopoliser le compartiment à bagages.
Beaucoup de voyageurs embarquent avec de gros bagages à main pour éviter de payer pour une valise en soute. Ainsi, ils envahissent l’espace destiné à leurs voisins, refusent de glisser leurs sacs sous les sièges, rangent ce dernier loin de leur siège ou exigent que ce soit les agents de bord qui hissent leurs valises.
3 – Encombrer la circulation dans les couloirs.
L’espace est de plus en plus exigu dans les avions et certains passagers empiètent sur l’espace du voisin, monopolisent les accoudoirs, laissent dépasser bras et jambes dans le couloir en gênant le service et non seulement ne s’excusent pas lorsque les agents trébuchent, mais les engueulent. Il faudrait garder en tête qu’ils ne sont en rien responsables de cette réduction d’espace et qu’ils sont les premiers à en souffrir.

4 – Utiliser ses appareils électroniques lorsque c’est interdit.
L’utilisation d’appareils électroniques (portables, tablettes et téléphones) est autorisée pendant certaines phases du vol (en mode silencieux). Cependant, non seulement certains ne respectent pas ces règles, mais laissent leurs enfants s’amuser avec des jeux très bruyants sans écouteur. Et ils osent se mettre en colère lorsque le personnel leur rappelle le règlement.
5 – À l’arrivée, se lever avant la consigne

Après plusieurs heures de vol, nombreux sont ceux qui n’attendent pas le signal du pilote pour se lever. Non seulement ce geste dérange les passagers et l’équipage, mais c’est dangereux de le faire avant l’arrêt complet de l’appareil.

6 – Allumer son mobile trop tôt
Certains passagers ont une telle urgence de prendre leurs messages qu’ils rallument leur appareil dès que l’avion est en approche de la ville. Un capitaine d’avion a révélé à Jetcost qu’il a déjà du demander aux passagers d’éteindre leurs mobiles parce qu’une interférence avait bloqué le train d’atterrissage, l’empêchant de faire pivoter l’appareil au sol avant de le garer.
7 – L’usage abusif de la sonnerie.
Il ne faut pas abuser de la sonnerie permettant d’appeler le personnel de cabine. On s’en sert pour des problèmes techniques ou des demandes précises.

8 –Aller aux toilettes ou se mettre debout lorsque c’est interdit.
Pendant les turbulences et lors du décollage ou de l’atterrissage, les passagers n’ont pas le droit de se mettre debout. Nombreux sont cependant ceux qui passent outre cette interdiction notamment pour aller aux toilettes ou pour chercher ou ranger quelque chose dans leur bagage à main. Ce n’est pas interdit pour rien, c’est dangereux !

9 – Prendre l’avion pour une poubelle.
Les auxiliaires de cabine passent à plusieurs reprises dans les couloirs munis de sacs poubelles. Cela n’empêche pas certains voyageurs de mettre leurs emballages de chocolat, sachets de chips ou de coller leur vieux chewing-gum aux magazines dans les pochettes des sièges ou de les jeter par terre. En raison des temps de battements de plus en plus court entre deux vols, ce surcroit de travail pour nettoyer l’appareil peut parfois être la cause de retards.

10 – Essayer des aventures insolites. 
Certains passagers ont le fantasme de faire l’amour à bord d’un avion et de se retrouver au sein du Mile High Club qui regroupe ces derniers. En général, si c’est fait avec discrétion (pas facile), les auxiliaires de cabine n’interviennent pas, sauf si la situation tourne au scandale ou s’ils essaient d’obtenir leur complicité ou … leur participation.

Source : Jetcost : www.ca.jetcost.com/fr

Ce texte (handicapé de trois situations énervantes)  a été publié dans la Chronique Voyager sans souci du Journal de Montréal ICI et du Journal de Québec ICI

 

10 choses bizarres que des voyageurs ont tenté d’introduire dans un avion

On sait tous qu’en quittant un pays ou en y entrant, il faut déclarer ce que l’on transporte. Contourner cette règle peut occasionner de graves conséquences, ce qui n’empêche pas certains voyageurs à l’imagination débordante d’essayer. Voici 5 cas, plutôt extrêmes, recensés dans ce texte par le comparateur de vols et d’hôtels Jetcost (www.ca.jetcost.com/fr).

1. UNE TORTUE DANS UN HAMBURGER

Dans un vol pour Pékin, un homme a tenté de cacher sa tortue de compagnie dans un hamburger. Malheureusement, lorsqu’il est passé aux rayons X, les douaniers ont trouvé le hamburger étrange et ont regardé de plus près.

2. DES TÊTARDS DANS LA BOUCHE

Une Sud-coréenne a été arrêtée à l’aéroport de Guangzhou, en Chine, lorsqu’elle tentait de passer les contrôles de sécurité avec une bouteille d’eau pleine. Lorsque les agents lui ont proposé de boire le contenu de la bouteille ou de la jeter à la poubelle, elle a choisi la première option, mais a gardé l’eau dans sa bouche. Suspectant quelque chose, ils lui ont demandé de recracher dans un seau. C’est là qu’ils ont vu apparaître des dizaines de têtards. Elle a tenté de leur expliquer que ces futures grenouilles étaient le cadeau d’un ami cher.

3. UN CADAVRE EN FAUTEUIL ROULANT

Dans un aéroport britannique, deux Allemandes ont été arrêtées alors qu’elles tentaient de faire monter le cadavre d’un membre de leur famille qu’elles avaient installé dans un fauteuil roulant. Malgré le maquillage et les lunettes de soleil dont elles l’avaient affublé, ce dernier a semblé suspect et les deux femmes ont été détenues à l’aéroport John Lennon de Liverpool pour ne pas avoir communiqué ce décès aux autorités.

4. PLUSIEURS DENTS HUMAINES ET UN CRÂNE D’HOMME DANS UNE VALISE

Des agents de sécurité de l’Aéroport international de Fort Lauderdale et Hollywood, Floride, ont découvert des dents et un crâne humain dans les bagages de deux femmes qui devaient partir pour Baltimore, au Maryland. Elles ont déclaré avoir acheté deux récipients hermétiquement fermés dans une boutique spécialisée en souvenirs à connotation religieuse de Cuba. L’un des pots s’est cassé et les restes humains qu’il contenait se sont éparpillés. Bien qu’elles aient par la suite collaboré avec la police, elles ont ainsi appris que tout voyageur est dans l’obligation de connaître la nature des objets qu’il transporte.

5 UN SINGE PYGMÉE DANS DES SLIPS

.Les autorités de l’Aéroport international Indira Gandhi en Inde ont remarqué trois hommes ayant un étrange comportement. La fouille a révélé qu’ils cachaient dans leurs slips plusieurs loris (primates originaires d’Indonésie, appartenant à une espèce en voie d’extinction). La police les a arrêtés et l’organisation « People For Animals » a pris en charge les animaux.

Cet article a été publié dans la Chronique Voyager sans souci du Journal de Montréal ICI et du Journal de Québec ICI. 

NOTE
Cependant, comme c’est souvent le cas, le manque d’espace a handicapé cette chronique de 5 choses farfelues. Je vous les offre donc en prime ici.

6 –Serpents et tortues dans des pantalons
Un homme aurait essayé de monter à bord d’un vol Miami-Brésil avec des tortues et des serpents exotiques cachés dans son pantalon. C’est lors du passage au détecteur tomographique corporel que les agents de sécurité ont aperçu des sacs en nylon contenant ces animaux.

7 –Un crocodile dans un sac de voyage
Le cas le plus grave dont Jetcost a eu connaissance est celui d’un crocodile Stonwaway caché dans un sac de voyage. En plein vol, sans doute à cause de l’enfermement, l’animal est devenu fou et a semé la pagaille à bord de l’avion. Le mouvement de panique des passagers a conduit à la perte d’équilibre de l’appareil, qui a fini par s’écraser sur une maison, en provocant la mort de presque tous les voyageurs. Le seul survivant du vol Let 410 (Kinshasa, capitale de la République Démocratique du Congo, vers Bandundu) a raconté cette incroyable histoire aux autorités. Ironie du sort, le crocodile a survécu, mais les secouristes l’ont tué d’un coup de machette.

8. Une épée laser
Peter Mayhew, l’acteur qui a incarné Chewbacca dans la saga Stars Wars, rentrait chez lui au Texas lorsque les agents de la TSA l’ont arrêté avant son embarquement à l’aéroport de Denver sous prétexte qu’il portait sur lui… un sabre laser ! L’acteur anglais revenait du ComicCon, au Colorado, armé de sa légendaire épée de lumière extra large. Cette situation a provoqué un sérieux débat parmi les agents de sécurité et c’est finalement, le personnel d’American Airlines qui ont persuadé les agents que les probabilités qu’un acteur connu kidnappe un avion armé d’une épée de lumière étaient minimes.

9. Une arme et ses munitions dans les peluches d’un enfant
Un père de famille américain qui essayait de monter à bord d’un avion pour Détroit avec les peluches de son fils de quatre ans, a été déjoué par le scanner. Dans ce dernier, les employés de l’Agence de Sécurité du Transport ( TSA), ont pu voir un chargeur plein de balles dans le ventre d’un lapin blanc, un pistolet calibre 40 dans un petit ours en peluche tandis que Mickey transportait le canon à pompe indispensable au montage du pistolet.

10. Un couteau dans un pot de mayonnaise

Un homme a tenté de prendre un vol de New York à Mexico avec un couteau caché dans un pot de mayonnaise. La TSA a confisqué l’un et l’autre.

10 trucs pour protéger nos appareils et nos données

Depuis que Washington et Londres ont interdit les appareils électroniques de plus grande dimension qu’un téléphone cellulaire à bord des avions partant de neuf aéroports (Turquie, Liban, Jordanie, Égypte, Tunisie, Arabie Saoudite, Émirats arabes unis, Qatar et Koweït), ­plusieurs voyageurs s’inquiètent. Comment protéger ses appareils et surtout ses données si l’on transite par ces endroits ou si la mesure ­venait à s’étendre à tous les pays? Voici donc quelques trucs.

1. Crypter ses données. C’est un ­processus que l’on peut faire soi-même, mais si l’on ne veut pas ­commettre d’impair, on peut demander l’aide d’un technicien (indépendant ou dans les boutiques électroniques).

2. Se procurer une balise GPS que l’on met sur ou dans l’ordinateur. La majorité des appareils ont des ­systèmes de traçage. S’assurer qu’ils sont bien fonctionnels.

3. Mettre sur clé USB le travail à ­effectuer et choisir un hôtel ayant un espace de travail avec des ordinateurs.

4.Voyager avec un vieil ordinateur sur lequel on ne laisse aucune ­information personnelle, mais qui prend les données (clés USB) à destination.

5. Stoker ses données sur le Cloud, Dropbox, Gmail et autres pour les télécharger à destination.

6. Dans la valise, mettre ses appareils à l’intérieur de vêtements que l’on roule les uns par-dessus les autres pour les protéger et rendre le vol un peu plus compliqué.

7. Utiliser des cadenas approuvés par la TSA (Transportation Security Administration), ce qui permet aux ­douaniers d’ouvrir les valises sans les briser. Certains de ces cadenas ont aussi des GPS et permettent de retrouver une valise perdue.

8. Enlever la carte mémoire de son ­appareil photo et la garder avec soi afin de ne pas perdre nos précieux ­souvenirs.

9. Sachant que, chaque jour, quelque 82 000 bagages sont perdus dans le monde et que 13 % d’entre eux ne sont ­jamais retrouvés, plusieurs passagers s’inquiètent également de perdre leurs précieux appareils. Dans un premier temps, comme la cause principale de ­cette perte définitive est le fait d’étiquettes arrachées pendant la manipulation, je ­redonne ce truc fort utile à ceux qui ont pour mandat de trouver à qui appartient le bagage. On écrit simplement ses ­coordonnées complètes sur une feuille, que l’on place, à L’INTÉRIEUR de sa valise, idéalement dans la pochette du haut, de façon à ce qu’on puisse identifier son ­propriétaire du premier coup d’œil.

10. Cependant, un nouveau gadget vient de faire son apparition sur le marché. Il s’agit du E-LOSTBAG ­Premium TM, qui permet de rendre son bagage identifiable auprès de toutes les compagnies aériennes. Placé à l’intérieur de la valise ou du sac, et connecté au ­téléphone intelligent de son propriétaire, il émet une alerte lorsqu’il approche sur le carrousel. On peut le repérer grâce à une sonnerie et le retracer en cas de ­perte, puisqu’il fournit sa position GPS. www.e-lostbag.com

À SAVOIR

  • En gros, si l’on revient d’un de ces pays visés par l’interdiction, ou qu’on y transite pour se rendre vers Londres ou les États-Unis, les ordinateurs portables, ­tablettes (iPad), liseuses électroniques, appareils photo, lecteurs DVD portables, consoles de jeux et imprimantes-scanner doivent ­voyager dans les bagages ­enregistrés.
  • Les appareils médicaux ne sont pas visés par cette mesure. Ils peuvent rester en possession du passager, mais ils seront contrôlés.
  • Dans tous les autres pays que ceux mentionnés plus haut, on suggère de conserver tous ces appareils électroniques dans les bagages de cabine.
  • Certaines compagnies aériennes des pays visés plus haut ont commencé à offrir différentes solutions. Par exemple, Qatar Airways offre à tous les passagers, à la porte d’embarquement, d’emballer les appareils. Ceux-ci seront étiquetés, chargés comme bagages d’enregistrement et retournés au client à leur arrivée aux États-Unis. De plus, cette compagnie prêtera des ordinateurs portables aux passagers de la classe Affaires.
  • Autre exemple: La compagnie ­Emirates permet l’utilisation des ­appareils jusqu’à l’embarquement. Des membres du personnel se ­chargent ensuite de placer ­(gratuitement) ces derniers dans des boîtes adaptées dans la soute avant le début du vol.

Cet article est paru dans la Chronique Voyager sans souci du Journal de Montréal, ICI et du Journal de Québec ICI

Cinq trucs pour obtenir (peut-être) obtenir un surclassement :-)

Lorsqu’on achète son billet d’avion, un choix s’offre à nous. Opterons-nous pour la classe économique, la plus populaire parce que la moins chère, mais également la moins confortable, ou accepterons-nous de payer le double, voire le triple pour nous rendre à une même destination avec un meilleur confort et de meilleurs repas?

Selon le comparateur de prix de vols, d’hôtels et de locations de voiture Jetcost, il existe cependant certaines astuces susceptibles d’obtenir de meilleurs sièges – s’ils sont libres, bien ­entendu. Voici les cinq trucs les plus ­courants.

Élégance à bord !

Se fondant sur le fait que la première impression joue un rôle fondamental, s’habiller comme les gens d’affaires augmenterait les possibilités de 70 %, tandis que shorts, jeans, basquets ou sandales les diminuent consi­dérablement. Quel­ques compagnies auraient même un code vestimentaire pour leurs clients business.

Sourire et patience

Se montrer gentil, afficher un beau sourire, faire preuve de ­patience et de compréhension pour l’attente et les problèmes qui peuvent survenir au moment de l’enregistrement pourraient vous valoir une belle surprise lorsque viendra le moment de monter à bord.

Osez demander

N’hésitez jamais à demander un surclassement, idéalement au moment de l’enregistrement ou juste avant l’embarquement. Se faire dire non est inévitable, mais on ne sait jamais. Beaucoup de voyageurs croient qu’il est plus facile d’obtenir un surclassement sur des vols presque vides. Au contraire, s’il ne reste plus de place en classe économique et qu’il y a encore des demandes de réservations, les chances d’obtenir un surclassement sont plus élevées puisque cela permet à la compagnie aérienne de continuer à vendre des billets.

Se proposer en cas de surbooking

Parfois, le surbooking oblige les compagnies à placer quelques passagers sur d’autres vols. Dans ce cas, les employés demandent s’il y a des volontaires parmi les voyageurs.

Si vous n’avez pas de contraintes horaires et que changer d’avion ne vous gêne pas, soyez le premier au comptoir. Il y a de fortes chances qu’on vous ­offre un vol en classe Affaires et parfois même une compensation finan­cière.

Soyez fidèles

N’oubliez pas que, pour les lignes aériennes, conserver leurs clients est crucial, d’où les cartes de fidélisation. Ces dernières ­permettent d’accumuler des points, mais également d’obtenir certains privilèges, dont le ­suclassement.

Cet article est paru dans la chronique Voyager sans souci du Journal de Montréal  ICI et du Journal de Québec ICI 

 

 

 

 

 

 

Avoir de la classe, en avion !

Avoir de la classe, quelle belle expression ! Cependant, lorsqu’on utilise le terme classe en avion, il fait plutôt référence au confort, aux luxe, à l’espace. C’est vrai que depuis quelques années, la classe économique ne cesse de perdre des plumes. On aimerait bien voyager en classe Premium, Affaires, Affaires Plus et même en Première Classe, mais est-on prêt à payer la différence de prix ?

Lorsqu’on achète son billet d’avion, on privilégie souvent l’économie au confort. Après tout, payer le triple pour aller au même endroit, manger un meilleur repas, c’est vrai que c’est agréable et tentant, mais ne vaut-il pas mieux garder ses sous pour profiter pleinement de ses vacances ?

Histoire de vous donner une petite idée, voici une courte présentation de ces différentes classes, suivie en fin de texte d’une comparaison de prix.

La classe économique

classe économique Air Canada

Il faut bien l’avouer, ce n’est certainement pas la façon de voyager la plus confortable. Les sièges sont étroits et n’offrent que peu de distance avec le voisin devant nous et celui derrière. L’inclinaison est donc réduite voire impossible, il faut partager son accoudoir avec le voisin et l’on n’a que très peu de place pour ranger les choses dont on a besoin durant le vol. Le service est, lui aussi, réduit au minimum et sur certains vols, plus courts, on n’offre rien d’autre que du café, du jus ou une boisson gazeuse.
La classe Premium

Classe Premium Air Canada

Elle porte différents noms selon les compagnies, mais c’est celle qui se situe entre la classe affaires et la clase économie. Ses sièges sont plus confortables et offrent plus d’espace, le service est meilleur (repas plus copieux, écran plus large, prises USB). Elle coûte entre 10% et 30% de plus que la classe économique.

La classe Affaires

Classe Affaires Air Canada

Il est certain que si l’on traverse l’Atlantique et qu’une réunion nous attend à l’arrivée, c’est la classe à privilégier. Elle offre un véritable confort et ce, dès l’arrivée à l’aéroport (inscription dans une zone réservée, embarquement en priorité, restauration raffinée et, bien entendu de larges sièges dont certains forment même un véritable lit. Mais elle coûte de 2 à 3 fois le prix le plus bas de la classe économie.

Première classe

Première classe Air France

C’est la plus prestigieuse. Située en avant de l’avion, elle ne compte généralement que quelques sièges qui ressemblent à de petites chambres. C’est un confort extrême. Mais son prix est également très élevé et elle n’est pas disponible sur tous les vols.

Les différences de prix

Lorsqu’il n’est pas obligatoire de voyager à une date précise, il vaut la peine de vérifier les coûts selon les dates de départ car cela peut varier beaucoup. Voici, à titre d’exemple, les prix issus d’une recherche faite sur les sites d’Air France et d’Air Canada pour un billet sur un vol direct (aller-retour Montréal-Paris) :

  • Chez Air France : Pour un départ le 3 mars et retour le 10 mars : 1 204 $ en Classe Économie ; 2 236 $ en classe Premium et 6 557 $ en classe Affaires. Du 6 au 13 mars, ce même vol coûtait 746 $ en économie ; 2 116 $ en Premium et 6 557 $ en classe Affaires.
  • Chez Air Canada: 3 au 10 mars : 874 $ en classe économie ; 2 265$ en Economie Privilège et 6 359 $ en classe Affaires. Du 6 au 13 mars : 745 $ en économie ; 2145 $ en Economie Privilège et 6 354 en classe Affaires. www.aircanada.com

Note : Ces prix sont à titre indicatif seulement. Il y a de fortes chances, squ’ils ne correspondent pas aux prix de vos recherches. C’est que la façon de déterminer les prix (pricing) des billets d’avion est très sophistiquée. Les tarifs évoluent en permanence en fonction de l’offre et de la demande. Ils sont ensuite ajustés en fonction de l’environnement (concurrence, période du voyage, nombre de sièges disponibles, etc.). Bref, un beau casse-tête dont on ne sort jamais réellement gagnant.

 

 

10 trucs pour contrer le décalage horair

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Si l’on n’y prend garde, le décalage horaire peut facilement handicaper notre séjour et même gâcher nos vacances. Sous le choc, notre horloge interne n’arrive plus à trouver ses repères et nous rend irritables, fatigués, et l’on peut même avoir des problèmes de sommeil, de digestion ou des maux de tête. Heureusement, ces 10 trucs peuvent nous aider à en diminuer les effets. 

1. Bien choisir son vol. Si c’est possible, on choisit son vol en fonction de l’heure d’arrivée. L’idéal est d’arriver à destination en début de soirée, ce qui permet de s’endormir à l’heure locale et de ne pas avoir à cogner des clous toute la journée. Si l’on fait un très long vol (vers l’Asie par exemple), on peut également faire une halte d’une nuit ou même de quelques jours dans une ville à mi-chemin. Ça permet de maximiser ses découvertes et au corps de s’adapter.

2. Se reposer dans l’avion. On ­essaie de dormir dans l’avion et l’on boit beaucoup d’eau en évitant l’alcool et le café, qui déshydratent. Si l’on ne peut pas dormir, on essaie de se détendre le plus possible.

3. Un arrêt à l’hôtel. Après avoir récupéré les bagages, on se rend à l’hôtel. S’il est trop tôt pour prendre possession de sa chambre, on demande tout de même à la réception si l’on pourrait s’y rendre dès qu’elle sera prête. Plusieurs acceptent très gentiment. Une fois installé, on prend un bain auquel on ajoute une huile relaxante que l’on a pris la précaution de glisser dans ses bagages et l’on se détend les jambes en les ­massant avec le jet de la douche, en remontant des pieds jusqu’aux cuisses.

4. L’heure de la sieste. On s’offre ensuite une petite sieste (pas plus d’une ou deux heures). Si l’on demeure au lit plus longtemps, on souffrira toute la semaine des effets du décalage. Il faut donc se lever, prendre une bonne douche puis sortir à la lumière du jour. En voyant cette dernière, notre ­cerveau reprogrammera notre ­horloge biologique.

5. Prendre une collation. Si le vol arrive en milieu d’après-midi, une barre protéinée, des noix ou des fruits permettent de calmer la faim en attendant de passer à ­table pour le repas du soir. Ce ­dernier est important, car il permet d’ajuster son organisme à l’heure locale. Le lendemain de son arrivée, il serait bien de s’offrir un repas riche en protéines, ce qui aide à garder l’esprit alerte.

6. Limiter l’alcool et le café. Les premiers jours, on y va doucement et progressivement avec la caféine et l’alcool. On essaie de prendre ses repas selon le nouveau fuseau horaire.

7. Bouger un peu. Faire de l’exercice pour stimuler les endorphines. Cela permet d’effacer les tensions d’un long vol. Une petite course ou marche près de l’hôtel, au bord d’un lac ou dans la nature feront l’affaire.

8. Des produits adaptés. Il existe dans les rayons de cosmétiques des produits susceptibles d’effacer les traces de fatigue. Il ­suffit d’en faire la demande à la pharmacie ou dans un comptoir de cosmétiques. Certains mannequins professionnels ont même déjà ­partagé leur recette miracle. Il ­semble qu’elles appliqueraient un peu de Préparation H (onguent contre les hémorroïdes) autour des yeux. ­Oserez-vous?

9. Transition tout en douceur. Pour profiter au maximum de son séjour, on limite à quelques ­minutes ses premières expositions au soleil. On prévient ainsi les coups de soleil, mais surtout, on ­habitue progressivement son organisme au changement de climat.

10. Prendre son temps. Même si l’on a hâte de tout voir, il n’y a pas urgence. Il vaut mieux profiter de sa première journée pour se ­détendre. Pourquoi ne pas s’offrir un soin dans un spa? Certains proposent même des soins Spécial Jet-Lag, mais un forfait comprenant un bain relaxant, un massage détente ou, mieux encore, un drainage lymphatique suffit amplement à donner un coup de fouet à l’organisme.

Cet article a été publié dans la Chronique Voyager sans souci du Journal de
Montréal, ICI et du Journal de Québec, ICI.

8 Trucs pour les voyages du temps des fêtes

Pendant la période  des fêtes, les aéroports et de nombreux éléments extérieurs peuvent perturber nos projets : tempête de neige ; retard ou annulation du vol, sans oublier tous ces cadeaux qu’il faut transporter. Tous ces détails augmentent le niveau de stress. Voici quelques trucs.

Photo: Fotofolia (tirée du Journal de Montréal et Journal de Québec)

Photo: Fotofolia (tirée du Journal de Montréal et Journal de Québec)

1 – On s’assure que la compagnie d’aviation a notre courriel et notre numéro de téléphone afin d’être informé de tout retard ou annulation.

2 – Si notre départ est le matin très tôt, il peut s’avérer très avantageux de loger près de l’aéroport. Il existe d’excellents hôtels installés à peu de distance. L’essai récent du Holiday Inn Express & suites (1,8 km de l’aéroport PET) a permis de constater l’excellent rapport qualité/prix, la propreté des lieux et l’accueil chaleureux. Le wifi et les petits déjeuners sont inclus sauf si l’on doit quitter avant 06 h (heure d’ouverture du bar à déjeuner) ce qui est malheureusement souvent le cas pour les vols pour le Sud. Malgré ce détail, choisir cette option permet d’arriver la veille, d’éviter le stress de se retrouver au cœur d’un trafic intense causé par une tempête de neige, de stationner son automobile à un prix vraiment moindre que l’aéroport (6,95$) et de bénéficier du service d’une navette gratuite qui nous dépose à l’embarquement et qui revient nous chercher au retour. De plus comme cet hôtel est membre du groupe IHG (Intercontinental, Crowne Plaza, Holiday Inn, Indigo, etc.) on peut payer avec ses points fidélités en devenant membre du IHG Rewards ClubMC. Info : https://www.ihg.com/holidayinnexpress/hotels/us/en/reservation

3 – Si l’on préfère stationner à l’aéroport, on peut réserver en ligne et ainsi économiser jusqu’à 25 % du prix à la barrière (7 jours ou plus) ! Offre spéciale 2 pour un (deux semaines pour le prix d’une) à l’AeroParc pour les membres CAA, jusqu’au 15 janvier.

4- On n’oublie pas de télécharger l’application YULi (www.admtl.com/fr/application-mobile) qui permet de réserver son stationnement en ligne, de se repérer facilement dans l’aérogare, de connaître le temps de marche et le temps d’attente aux points de contrôle, d’obtenir des offres exclusives des restaurants et des boutiques et de recevoir des informations (en temps réel) sur son vol.

5 – Pour économiser du temps, on réserve son passage prioritaire à la sécurité (pour tous les départs sauf à destination des Etats-Unis. 24h avant l’heure de son vol, il suffit de réserver en ligne (maximum 5 personnes) et de confirmer son inscription en répondant à un message SMS. Bien entendu, il faut se présenter à l’heure prévue dans la ligne Secur Express. (www.admtl.com/fr/vols/secure_express)

6 -Afin de faciliter l’inspection au contrôle pré-embarquement, ADM suggère de placer ses cadeaux emballés dans ses bagages enregistrés (en soute). Si ce n’est pas possible et qu’on les transporte avec soi en cabine, ils ne doivent pas être emballés. Pour plus d’information sur les objets permis en cabine, on consulte le site www.catsa-acsta.gc.ca.

7- Perdre ses bagages alors qu’ils sont remplis de cadeaux pour nos proches serait une catastrophe. On s’assure de placer, sur ses valises, une étiquette (et même deux) contenant tous les renseignements sur l’endroit où l’on se rend. De plus, à l’intérieur de ces dernières, on glisse une grande feuille avec nos noms, adresses et téléphones bien visible. Enfin, protection supplémentaire, à l’aide de son tel cellulaire, on photographie ses valises ainsi que les petits coupons pour les réclamer. Ainsi, en cas de perte, on retrouvera facilement ces informations permettant de les retracer.

8 – S’il nous manque quelques cadeaux d’hôtesses, les achats en vol dans le catalogue de la boutique hors taxe peuvent être une bonne solution. On y trouve tout un tas de suggestions originales pour ceux qui possèdent déjà tout.

NOTE: Le manque d’espace ou les choix éditoriaux modifient parfois les textes. Cette semaine, le Journal de Montréal et le Journal de Québec ont publié ma chronique sous le titre 6 trucs pour voyager pendant la période des fêtes, amputant mon texte de deux trucs.

On peut lire celui publié dans le Journal de Montréal ICI et Journal de Québec

10 trucs pour augmenter son confort en avion

À moins de faire partie des privilégiés qui voyagent en classe affaires, force est d’avouer qu’il est de plus en plus difficile de vivre dans le confort à bord des avions. Voici cependant dix trucs pouvant apporter un certain bien-être.

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1.  Pour éviter d’avoir à fouiller constamment dans la petite valise placée dans le compartiment à bagages, on glisse dans un sac tout ce dont on aura besoin en vol: médicaments, bouchons pour les oreilles, oreiller de voyage, petite couverture ou châle, livre, bouteille d’eau, etc. Placé sous le siège devant nous, ce sac est accessible en tout temps et évite d’avoir à se lever constamment pour fouiller dans le ­compartiment.

2. Si le temps le permet, on fait une marche rapide avant de se rendre à l’aéroport ou carrément dans la zone d’embarquement. Cet exercice compensera les longues heures assises à venir.

3. On choisit un siège en bout de rangée (surtout si l’on boit beaucoup). Ainsi, on ne dérange personne quand on se lève. Ne pas oublier que se lever et marcher favorise la circulation. Si le vol est long et qu’on ne veut pas (ou ne peut pas) se lever régulièrement, il faut contracter les mollets afin de faire remonter le sang.

4. On sait tous que les bouteilles d’eau ne passent pas la sécurité, mais si cette dernière est vide, aucun problème. Une fois dans la zone d’embarquement, on n’a qu’à la remplir aux fontaines situées près des toilettes. Ça ne coûte rien et ça permet d’éviter la gorge sèche si le service est lent à bord ou s’il est interrompu en cas de turbulence.

5. On prend un repas léger avant de monter à bord, ce qui permet d’attendre patiemment le service. Si c’est un vol sans repas, on apporte son propre repas (sandwich et même salade que l’on peut garder au frais en glissant une éponge congelée – elle passera la sécurité, contrairement au bloc réfrigérant) dans un sac Ziploc. On évite les boissons gazeuses, les légumineuses et on privilégie les fibres pour éviter les ballonnements intestinaux.

6. On porte des vêtements amples. Par contre, si l’on souffre de problèmes de circulation, le port de bas de soutien est recommandé. On enlève ses chaussures ce qui améliore la circulation sanguine. On les remplace par des bas chauds que l’on a pris la précaution d’apporter dans son sac.

7. On limite sa consommation d’alcool et même de café, thé et boissons gazeuses qui déshydratent, et l’on privilégie l’eau, qui hydrate.

8. L’air étant très sec dans un avion, il faut toujours avoir de petites serviettes humides avec soi. Il est important de bien humecter ses voies nasales régulièrement. Les microbes, bactéries et virus y adhéreront moins facilement. Si nos yeux s’assèchent facilement, on apporte aussi des gouttes pour les yeux, un baume pour les lèvres et un petit contenant de crème hydratante pour le visage et les mains. De plus, est-il utile de rappeler l’importance de se laver les mains?

9. Dormir permet d’arriver en meilleure forme à destination, mais ce n’est pas toujours évident. Dans un premier temps, on s’enveloppe dans une petite couverture, un chandail ou même un châle. Il est difficile de dormir quand on a froid. De plus, un long châle porté sur votre visage et votre corps aura la double action de cacher la lumière et de tenir au chaud. On peut également porter un masque (ramené d’un voyage en classe affaires). On éteint la lumière de lecture, on met les écouteurs avec sa musique préférée et l’on utilise les bouchons pour oreilles afin de réduire les bruits.

10. Quelques bonbons et de la gomme aideront à réduire la pression dans les oreilles au moment de l’atterrissage.

Cette chronique a été publié, sous ma signature, dans le Journal de Montréal et le Journal de Quebec.