Archives de Tag: trucs

Quelques trucs pour bien voyager avec son animal

La semaine dernière, je vous ai donné quelques trucs pour préparer un voyage avec Pitou. Voici quelques trucs, susceptibles de faire de votre chien un bon voyageur.

PHOTO FOTOLIA

En avion

1. Si possible, on l’habitue lorsqu’il est bébé. Plus âgé, il a ses habitudes et il faut beaucoup de patience pour calmer ses angoisses face à un nouvel environnement.

2. On vérifie les règles de la compagnie aérienne concernant le transport d’animaux. S’il pèse moins de 10 kg (22 livres) (incluant le poids de la cage), il devrait pouvoir voyager dans un sac de transport léger que l’on peut placer sous le siège devant nous. On peut ainsi le caresser s’il pleure. Certaines compagnies acceptent même que le sac soit sur nos genoux. On peut ainsi le rassurer s’il pleure.

3. On le familiarise avec sa cage (des gâteries placées dans cette dernière peuvent aider) plusieurs jours avant le départ. On y dépose sa doudou ou son toutou préféré.

4. Avant de se rendre à l’aéroport, on lui fait faire une très longue marche. Épuisé, il sommeillera plus facilement.

5. Deux heures avant le vol, on le nourrit légèrement, mais on ne diminue pas sa consommation d’eau.

En auto

1. On ne doit pas le laisser libre dans le véhicule. Il peut vous distraire et causer un accident, mais aussi se transformer en projectile en cas de freinage brusque. L’idéal demeure la cage de transport. Un bon harnais ou une ceinture de sécurité peuvent aussi faire l’affaire­­­, mais ils doivent être sécuritaires et ne pas l’étrangler.

2. La partie arrière d’une camionnette et le compartiment à bagages sont à éviter. En cas d’accident, l’animal n’a aucune chance.

3. Les décapotables, les boîtes de camion et les fenêtres ouvertes peuvent causer des otites, des conjonctivites ou des chutes.

4. Nourrir l’animal au moins six heures avant le départ, prévoir une bouteille d’eau fraîche (les trous d’eau contiennent des bactéries) et son écuelle.

5. En route, faites des arrêts (toutes les deux heures) pour qu’il se détende, se soulage et se désaltère.

6. Apporter sa laisse et ses médailles d’identification. Avant de le faire sortir, mettez-lui sa laisse, car ce nouvel environnement pourrait l’effrayer et vous faire perdre le contrôle.

7. Ne jamais le laisser seul dans un véhicule, même à l’ombre. En quelques minutes, la température peut grimper et causer une hyperthermie (coup de chaleur­­­).

8. Ces conseils valent aussi pour les sorties en bateau, mais il faudrait ajouter un gilet de sauvetage. Chats et chiens sont, en général, de bons nageurs, mais ils se fatiguent vite.

Ce texte a d’abord été publié dans la chronique Conseils aux lecteurs du samedi 1 septembre 2018 du Journal de Montréal ICI et du Journal de Québec ICI.

5 choses à savoir sur les passeports

Document des plus importants pour les voyageurs, le passeport exige non seulement qu’on en prenne grand soin, mais il faut également respecter certaines règles. Voici cinq choses à savoir.

PHOTO FOTOLIA

1. Votre passeport demeure la propriété exclusive du gouvernement du Canada. Il faut donc le ranger en lieu sûr et à l’abri des intempéries, car, s’il est endommagé, il faudra présenter une nouvelle demande afin d’éviter de se voir refuser l’entrée aux postes frontaliers, à bord des avions ou subir d’importants retards.

2. Seule la personne qui détient le passeport a le droit de le signer. Si l’on voyage avec un enfant (15 ans et moins), les parents/tuteurs légaux ne doivent JAMAIS le signer, car cela le rendra invalide. Par contre, l’enfant peut le signer, mais la section réservée à la signature peut également être laissée vierge, surtout lorsqu’il s’agit d’un tout-petit. Au Canada, seuls les documents de voyage canadiens pour adultes doivent être signés. Il peut cependant arriver que, dans certains pays, on exige la signature des parents. Donc, si vous voyagez avec des enfants, il peut s’avérer utile d’imprimer une copie de la loi canadienne pour la montrer au douanier du pays visité et ainsi éviter de signer le passeport de son enfant et, du même coup, le rendre invalide au Canada. www.canada.ca

3. Sachez, enfin, que si, à plusieurs reprises, vous avez déclaré des passeports endommagés, perdus ou volés, vous pourriez faire l’objet de restrictions lorsque vous présenterez une nouvelle demande. Il est donc de première importance de bien protéger ce précieux document.

4. La date butoir pour renouveler son passeport est de 6 (six mois) avant sa date d’expiration, mais pour certains pays, c’est plutôt 3 mois. Soyez vigilant. La majorité des pays appliquent rigoureusement cette règle.

5. Si vous prévoyez voyager dans certains pays comme l’Afrique du Sud, votre passeport doit contenir au moins deux pages vierges qui se font face et qui sont libres de tout tampon. Ces dernières seront utilisées pour le permis de séjour temporaire. Si vous prévoyez voyager dans les pays voisins et revenir en Afrique du Sud, assurez-vous d’avoir suffisamment de pages libres, faute de quoi on pourrait vous interdire de monter à bord de l’avion.

Ce texte a d’abord été publié le samedi 28 avril, dans la chronique Conseils aux voyageurs du Journal de Montréal ICI et du Journal de Québec ICI.

Promotions et infos pour ses prochains voyages

PHOTO FOTOLIA
Une plage de la Caroline du Sud.

1. Afin de remercier les visiteurs canadiens­­­, très nombreux à s’y rendre, le Bureau du tourisme et des congrès de Virginia Beach présente sa promotion Rabais +. Cette dernière propose, toute l’année maintenant, des rabais de 15 % à 35 %, selon la saison et à l’exclusion des jours fériés américains, dans différents hôtels, restaurants ou fournisseurs locaux.

2. La région de Myrtle Beach, en Caroline­­­ du Sud, offre également des rabais aux visiteurs canadiens afin de les aider à « compenser » la différence du taux de change. Les voyageurs munis d’un passeport canadien valide peuvent bénéficier de 25 % à 55 % dans certains hôtels, attractions, terrains de golf, restaurants et lieux de divertissement pendant leur séjour dans cette région. Malheureusement, cette promotion se termine en mai

3. Les guides de voyage Ulysse ont pensé à tous ces Québécois qui se rendent aux É.-U. pendant l’été et qui désirent profiter pleinement de leur séjour. Parmi leurs nouveautés sur les tablettes, on trouve Fabuleuse Côte Est américaine et Randonnée pédestre Nord-Est des États-Unis, sans oublier les mini-guides de la série Explorez où l’on retrouve Cape Cod, Nantucket et Martha’s Vineyard ; La côte du Maine et Portland et Le Vermont et le lac Champlain.

4. Pas toujours facile de se battre avec les compagnies aériennes pour ses réclamations ? Si cet exercice en rebute plusieurs, l’entreprise québécoise Vol en retard propose son aide aux passagers lésés par des retards, des vols annulés, des pertes ou des bris de bagages. Le service est gratuit jusqu’à obtention d’un dédommagement. Vol en retard prendra alors une compensation (env. 25 %) à même les indemnisations.

5. Cuba a été reconnu « le pays le plus sûr pour le tourisme », lors de la 38eFoire internationale annuelle du tourisme (FITUR), qui s’est tenue en Espagne, en janvier dernier. On s’est basé sur le fait que Cuba a le plus bas taux de criminalité au monde, que leur système de santé est reconnu internationalement, et que leurs complexes touristiques ont tous un médecin sur place et que leurs normes de sécurité sont constamment vérifiées.

 

Ce texte a d’abord été publié le samedi 21 avril, dans la chronique Trucs et Conseils pour voyageurs du Journal de Montréal ICI et du Journal de Québec, ICI.

Tout savoir sur son assurance-voyage pour éviter les mauvaises surprises

Quel que soit son âge, partir sans être muni d’une bonne assurance voyage pourrait s’avérer très onéreux en cas de problème. Dans ma chronique Voyager sans souci du Journal de Montréal et du Journal de Québec, j’ai récemment publié des informations pour partir la tête tranquille et surtout ne pas avoir de mauvaises surprises si jamais il se produit un problème en voyage. Bien que ces articles aient fait l’objet de publication en deux parties, je vous les ai ici rassemblées en une seule publication.

Voici donc quelques conseils pour bien choisir son assurance mais également pour la garder active.

  • Avant de magasiner une assurance-voyage, il est bon de vérifier si vous n’êtes pas déjà couvert par votre carte de crédit. Certaines offrent d’excellentes protections, malheureusement, plus on avance en âge, plus la protection décroit. En appelant au numéro de téléphone inscrit au dos de la carte, on s’informe des conditions et restrictions applicables.
  • Il n’est pas nécessaire de s’assurer trop longtemps avant le départ. En fait, les assureurs savent bien que l’état de santé peut changer et pour cela, ils préfèrent que ce soit le plus près du départ. On profite de ce temps pour comparer les produits.
  • Les garanties et protections offertes varient d’une police à l’autre. Il faut donc poser beaucoup de questions : 1 – La police vous couvre-t-elle toute la durée du séjour ? Serait-il possible de la prolonger si on désirer rester plus longtemps ? L‘assureur offre-t-il un service d’assistance téléphonique sans frais en cas d’urgence ? Si l’on voyage avec quelqu’un, qu’arrive-t-il si la personne doit revenir d’urgence, votre passage sera-t-il couvert ? Quelles sont ses restrictions, ses limites et les exclusions (certaines compagnies refusent d’assurer certains sports, les endroits dangereux (zones à risque ou pays non recommandés) publiés dans les Avis aux voyageurs du Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international du Canada (www.voyage.gc.ca/countrie_0qyw/menu-fra.asp) ou l’Agence de la santé publique du Canda (www.phac-aspc.gc.ca/tmp-pmv/pub-fra.php), les maladies préexistantes ou les abus d’alcool, de drogue ou le suicide.
  • Le Guide sur l’assurance maladie de voyage produit l’Association canadienne des compagnies d’assurances de personnes (ACCAP) peut répondre à de nombreuses questions. On n’y recommande aucun assureur, ni aucune police en particulier, mais cette démarche permet de faire un meilleur choix. http://www.clhia.ca
  • L’ASSURANCE ANNUELLEPlusieurs voyageurs au passeport bien garni optent pour une assurance-voyage annuel. Ils croient ainsi ne plus avoir à se préoccuper de cette dernière tout au long de l’année et partent l’esprit tranquille. Pourtant, de bien mauvaises surprises pourraient les attendre au détour. Pour un assureur, ce qui est important, c’est la stabilité, voici ce qu’il ne faut pas oublier de faire pour maintenir la validité de son assurance-voyage.Le Guide sur l’assurance maladie de voyage produit l’Association canadienne des compagnies d’assurances de personnes (ACCAP) peut répondre à de nombreuses questions. On n’y recommande aucun assureur, ni aucune police en particulier, mais cette démarche permet de faire un meilleur choix. http://www.clhia.ca
  • Jouer la transparence sur son état de santé, et sur sa liste de médicaments prescrits ou pris à l’occasion, au moment de remplir le questionnaire. Il ne sert à rien d’enjoliver les choses, vous risquez de payer une prime pour rien car la couverture pourrait être refusée.
  • L’assureur doit avoir une liste complète, et mise à jour, de tous les médicaments. Toujours l’aviser si modification et ce, pendant toute la durée du contrat d’assurance.
  • Attention aux médicaments génériques. C’est à vous de vous assurer, auprès de votre pharmacien, que c’est EXACTEMENT le même médicament. Parfois, c’est le même pour le médecin mais pas pour l’assureur.
  • Lorsque le médecin prescrit des examens (cœur, poumon, diabète, cérébro-vasculaire, etc.), lui demander la raison de ces examens et aviser son assureur. L’assurance devient alors en attente d’investigation. Dès que le résultat arrive, qu’il soit positif ou négatif, informer son assureur. Si un problème a été détecté, l’assurance n’est alors plus valide pour six mois pour ce problème.
  • Une fois l’examen terminé, si rien de grave n’est diagnostiqué, on peut rappeler son assureur, mais il faudra alors payer un supplément pour racheter une stabilité (7 jours ou 30 jours).
  • Les Snowbirds ont donc tout intérêt à demander à leur médecin de faire tous leurs examens dès leur retour au printemps. Ils auront alors le temps de faire leur bilan de santé et de ne pas se retrouver avec une exclusion de six mois.
  • Pour trouver cette première partie en ligne, dans le Journal de Montréal ICI et dans le Journal de Québec ICI 

2e partie

La semaine dernière, on vous parlait de comment il faut se montrer prudent, non seulement au moment de choisir l’assurance-voyage qui nous convient, mais également des règles à suivre pour s’assurer qu’elle soit toujours en vigueur. Mais que faut-il faire si l’on tombe malade à l’étranger ?

  • Est-il utile de préciser qu’il faut toujours avoir avec soi sa carte d’assurance maladie ? Il faut également avoir les documents relatifs à son assurance voyage et le numéro de téléphone permettant de les contacter. À plusieurs endroits, on demandera une preuve d’assurance avant de prodiguer les soins nécessaires.
  • Il est également prudent d’avoir toujours sur soi la liste des médicaments que l’on prend. Avant de partir, on se rend chez son pharmacien qui peut nous donner une copie imprimée et bien lisible des prescriptions. On la garde dans son portefeuille.
  • Dans tous les cas, il faut téléphoner à son assureur afin d’obtenir son autorisation avant que les soins soient donnés. Vous aurez ainsi la confirmation que c’est couvert. Dans certains cas, il se pourrait que l’assureur suggère plutôt d’attendre le retour au pays et, dans ce cas, il ne paiera pas pour les soins à l’étranger.
  • Bien que l’assurance pour les soins médicaux prévoit le remboursement des soins de santé, ce sera tout de même à vous de payer les frais à l’étranger. Certains pays permettent de repartir sans acquitter la facture immédiatement, mais la plupart du temps, il faut payer sur place avant de partir.

À savoir

  • L’idéal est de consulter un courtier qui fait affaire avec plusieurs assureurs et qui pourra vous aider à vous démêler dans ce dédale et vous suggérer la compagnie qui serait la mieux adaptée à vos besoins.
  • Quand on reçoit son contrat, on le lit (surtout les petits caractères). Oui, je sais c’est fastidieux, mais un simple petit détail peut faire une grande différence. Beaucoup de terme que vous ne comprenez pas ? Appeler votre courtier. Généralement, ils se montrent très patients pour répondre à toutes les questions. Si ce n’est pas le cas, changez de courtier.
  • Si vous n’avez pas de courtier, le comparateur en ligne securiglobe.com, permet de comparer les offres de 14 assureurs. Un essai vous montrera la diversité de tarifs des polices pour un même voyage.
  • Pour en savoir plus sur les services couverts par la RAMQ hors du Québec, c’est ici : www.ramq.gouv.qc.ca
  • Les 80 succursales de Pharmacie Brunet offrant le Programme santé-voyage. Le personnel infirmier sur place peut fournir des renseignements, répondre aux questions, déterminer (et donner) les vaccins et médicaments nécessaires, préparer une trousse complète de premier soin, etc. Pour trouver une succursale Brunet offrant le Programme Santé-voyage : http://www.brunet.ca
  • Il se peut en effet que certaines destinations ne soient pas couvertes par votre police, surtout celles déclarées à risque qui sont publiées dans les Avis aux voyageurs du Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international du Canada (www.voyage.gc.ca/countrie_0qyw/menu-fra.asp) ou l’Agence de la santé publique du Canda (www.phac-aspc.gc.ca/tmp-pmv/pub-fra.php
  • L’Association canadienne des compagnies d’assurance de personnes (ACCAP) est un site à consulter avant de souscrire une assurance. http://www.accap.ca
  • Enfin pour toute question concernant votre protection d’assurance maladie de voyage, on appelle l’Ombudsman des assurances de personnes (OAP), un service indépendant et gratuit qui fournit des renseignements ou de l’aide, en français et en anglais. 514 282-2088/1 888-295-8112 ou site www.oapcanada.ca

NOTE : Ce texte a été approuvé par l’Association canadienne des compagnies d’assurance de personnes (ACCAP) www.accap.ca

  • Pour trouver cette seconde  partie en ligne, dans le Journal de Montréal ICI et dans le Journal de Québec ICI

 

 

 

10 trucs pour prévenir le vol en voyage

La semaine dernière, je vous disais comment remplacer un passeport volé pendant un voyage. Voici maintenant quelques trucs pour prévenir le vol lorsque vous êtes à l’étranger, mais sachez bien que malgré toutes les précautions prises, les voleurs sont organisés et ont de nombreux trucs.

1. Ne gardez pas toutes vos cartes et vos identifications en un seul endroit. Par exemple, placez une carte de crédit avec votre passeport et une copie de votre permis de conduire. Dans un autre endroit, gardez l’original de votre permis de conduire, une copie de votre passeport et une autre carte de crédit. Ainsi, en cas de vol, vous aurez toujours de quoi payer et vous pourrez également vous identifier.

2. Faites une photocopie de tous vos autres documents importants (passeport, permis de conduire, assurance voyage, billet de retour, numéros du service à la clientèle de vos cartes de crédit, etc.) et placez le tout sur une clé USB que vous gardez dans un autre endroit ou qu’un de vos compagnons de voyage conserve avec lui. Faites également parvenir ces copies aux membres de votre famille les plus susceptibles de répondre rapidement en cas d’urgence.

3. Avant le départ, rendez-vous sur le site http://www.international.gc.ca et prenez en note les noms et adresses du consulat ou de l’ambassade dans le pays où vous vous rendez. Vous pouvez même les aviser de votre arrivée et de la durée de votre séjour. Sachez que le gouvernement du Canada est tenu de vous aider en cas de problèmes. Non seulement on pourra remplacer votre passeport, mais on peut fournir les coordonnées des services policiers et médicaux, et même offrir une aide financière par le virement de fonds.

4. Ne transportez pas et surtout ne payez jamais en retirant un billet d’une grosse liasse. Utilisez plutôt les distributeurs et ne retirez pas de trop gros montants à la fois.

Dans mon texte original, j’avais ajouté, la mention suivante :

Récemment CAA Québec publiait également une liste de 15 astuces pour un voyage antivol. Je vous invite à vous rendre sur leur site pour ajouter ces conseils à ceux mentionnés plus haut. https://www.caaquebec.com/…/15-astuces-de-caa-quebec-pour-…/

Je trouve dommage qu’on l’ait fait disparaître, CAA y donne 15 trucs, semblables ou différents des miens ce qui faisait grimper le nombre de trucs à 25. Enfin, ce n’est pas moi qui décide en dernier lieu.

Ce texte a d’abord été publié dans la Chronique Voyager sans souci du Journal de Montréal, ICI   et  du  Journal de Québec, ICI

 

10 trucs pour mieux gérer ses réservations de voyage

Si pour certains voyages, il suffit de s’installer dans un endroit et de n’en plus bouger, ce n’est pas toujours le cas. Que l’on ait fait soi-même ses réservations ou que l’on ait fait affaire avec un agent de voyage, lorsqu’on se déplace dans un pays, en automobile, en autobus ou en avion et que l’on change d’hôtel, il faut un minimum d’organisation. Une planification adéquate évite le stress. Heureusement, nos appareils électroniques et les nombreux outils qu’ils mettent à notre disposition apportent une aide précieuse. De plus, une bonne préparation, avant le départ, permet de se sentir totalement en sécurité avec son agenda. Voici quelques-uns de mes trucs.

1. Tout d’abord, pendant l’organisation du voyage, créer un dossier, sur son ordinateur, dans lequel on place tous les documents, courriels et informations. Si le voyage comprend plusieurs destinations comme une croisière, la Provence, l’Espagne, créer un dossier pour chacun que l’on place ensuite dans un grand dossier unique auquel on accède facilement.

2. Pour ceux qui sont de la génération papier, pour plus de sécurité, faire une copie de tous ses documents. Placés en ordre d’utilisation, ces derniers peuvent être détruits au fur et à mesure qu’ils ne sont plus utiles.

3. Dans l’agenda de son ordinateur (qui se met en lien avec la tablette et le cellulaire), inscrire ses vols, ses réservations d’avion, de bus, de train ou de location d’automobiles, d’hôtels, de spectacles ou de restaurants, aux dates précises de leur réservation.

4. Enfin, sur l’application Trip Case ou Google Trip, retranscrire toutes ces mêmes informations. Non seulement on peut les consulter en tout temps, mais on peut également faire parvenir une copie du document ainsi créé à ses compagnons de voyage, sa famille ou à ses amis restés à la maison. De plus, ces applications font des rappels et informent des modifications d’horaires des vols, etc.

5. Bien entendu, télécharger l’application de la compagnie aérienne avec laquelle on va voyager. Ça nous permettra de nous enregistrer directement, d’être informés en direct des changements d’horaire et, dans certains cas, d’avoir accès au divertissement à bord.

6. Tous les aéroports ont maintenant leur application (YULi pour Montréal, YQB pour Québec). Télécharger celui de l’aéroport de sa destination finale. À l’arrivée, on appréciera trouver en un clic les informations dont on a besoin.

7. Télécharger l’application maps.me ou Google Maps. Sur ces dernières, établir l’itinéraire téléchargé de la ou des régions du monde où l’on se dirige, pour avoir accès aux pleines fonctionnalités d’un GPS avec directions sur place, même si l’on n’a pas internet. Attention cependant, il faudra utiliser les données téléchargées, car sur place, sans internet, elles ne prennent plus de données.

8. Même si l’on peut louer une automobile munie d’un GPS, ces bidules exigent tout de même que l’on s’adapte à eux afin de bien les maîtriser. La ­meilleure solution demeure l’option Voyagez ­connecté offerte par les fournisseurs de téléphonie cellulaire. Cet accès coûte autour de 7 $/jour aux É.U. et 10 $/jour en Europe) avec un plafond autour de 100 $ à 150 $ par mois, selon le fournisseur. Il permet d’utiliser ­l’application GPS de son choix (Waze, Google, etc.), de téléphoner, de recevoir des messages, etc. Ça pourrait s’avérer fort utile pour retrouver un petit gîte perdu au milieu de nulle part. Bien s’informer des ­méthodes d’utilisation, surtout pour limiter les frais, en composant le *611 avant le départ ou pendant le voyage.

9. Si toutes nos réservations ont été ­effectuées, pas de problème. Par contre, ceux qui préfèrent se laisser ­surprendre par de belles excursions et bouger à sa guise, on peut trouver les meilleurs prix des hôtels tout près en consultant Trivago.ca ou, bien entendu, utiliser hotels.com, Booking.com ou Expedia.ca.

10. Si on loue une auto, s’assurer d’avoir les applications Gaz Buddy qui informent, en un seul clic, des meilleurs prix pour l’essence tout autour. Il y a également l’application Around Me qui indique les restaurants, les cafés, les hôtels, les stations-service, etc. Très pratique quand on conduit dans un secteur que l’on ne connaît pas.

Cette chronique a été publiée dans la chronique Voyager sans souci dans le Journal de Montréal ICI et dans le Journal de Québec ICI.

10 trucs pour survivre à Disney

Une visite à Disney, ça se prépare. Que l’on prévoie s’y rendre pendant les vacances d’été ou même pendant celles de l’hiver prochain, il vaut mieux commencer ses recherches pour être certain de ne rien manquer. Voici quelques suggestions.

1. Surveiller les offres

On se rend sur le site internet de Disney, où ils affichent régulièrement des offres ­alléchantes pour les Canadiens. On se procure également le guide Ulysse Disney World, dans lequel sont rassemblés les nouveautés et des conseils, ou bien on se procure le tout nouveau Disney World sans se tromper (Nathalie ­Lachance) aux Éditions de l’Homme, pour ­profiter au maximum de son séjour. Enfin, on s’informe auprès d’amis qui y sont allés et on lit tout ce qui nous tombe sous la main à ce sujet.

2. Visiter au bon moment

3. Prendre son temps

Il faut prévoir au moins quatre jours sur place, une pour chacun des parcs (Magic Kingdom, Animal Kingdom, Hollywood Studios et Epcot). En réalité, on pourrait prévoir une semaine entière et même un mois si l’on voulait tout voir. Et encore, on manquerait de temps. Mais en faisant une journée par parc, on reviendra satisfait. Sachez également qu’un laissez-passer de sept jours coûte moins cher à la journée qu’un laissez-passer de quatre jours, et que les  billets achetés cette année sont valides jusqu’à fin 2018..

4. Faire ses réservations

S’il est possible de réserver par soi-même sur le site internet Disney, sachez que, depuis 2014, il faut compter avec une technologie évolutive comprenant une série d’outils personnalisés (site web, application mobile My Disney Experience, FastPass+ et MagicBand), qu’il est plutôt difficile de maîtriser. Je vous suggère plutôt de faire affaire avec un agent accrédité par Disney qui vous aidera à faire vos réservations dans les parcs, votre parcours, les sélections de vos FastPass+, etc. De plus, comme l’agent est à l’affût des promotions, vous ­pourriez avoir de belles surprises.

5. Recevoir son MagicBand

Avant votre arrivée, que vous séjourniez ou non dans un hôtel Disney, on entrera les données dans votre   MagicBand (remis à votre arrivée) , un bracelet dont la puce ­électronique contient vos noms, adresse, ­numéro de téléphone et informations de ­paiement (en option) et qui sert également de clé de chambre (si vous réservez dans un hôtel Disney.

Il ne restera plus qu’à circuler, les mains ­libres, dans les parcs, les manèges, les hôtels, les boutiques et les restaurants, où des lecteurs peuvent lire le contenu de ces bracelets. En cas de perte ou de vol, ils peuvent être ­désactivés. Au moment du départ, tous les achats seront regroupés sur la facture, que vous recevrez ensuite par courriel.

6. Des manèges pour les plus grands

Ne pas oublier de tenir compte que certains manèges exigent une taille minimum (indiquée sur l’application) et que les préposés respectent rigoureusement cette règle.

7. Une application utile

Le WiFi, disponible gratuitement dans les parcs et hôtels, permet un accès constant à l’application My Disney ­Experience. On y trouve: des informations sur les différentes attractions et l’heure de rencontre des personnages; la liste des restaurants et la situation des toilettes, des boutiques, des restaurants, des spectacles et des kiosques de ­service; le temps d’attente pour les ­différents manèges; les événements ­spéciaux, etc.

 

8. Hébergement

L’avantage de réserver dans un hôtel Disney, ce sont tous les services offerts aux parents (lit de bébé, service de garde, attractions et activités récréatives, piscines et tout particulièrement les transports des hôtels vers les parcs et l’inverse, ce qui permet de revenir pour les siestes, si besoin est, sans oublier la livraison de vos achats directement à votre chambre). En ­logeant sur place, vous pouvez choisir vos FastPass 60 jours avant votre séjour (au lieu de 30 jours) ou encore profiter des parcs une heure plus tôt que les autres, mais il y a beaucoup d’hôtels et de motels autour de Disney à une fraction du coût des hôtels du site.

9. Bien manger

Il y a d’excellents restaurants, à Walt Disney World. Que l’on choisisse la restauration rapide ou les grands restaurants, ça peut coûter assez cher, mais il est possible d’apporter son lunch et même de se rendre à l’extérieur du site.

10. La magie Disney sur l’eau

Pour les amateurs de croisière, ­Disney possède quatre navires: Disney Dream, Disney Fantasy, Disney ­Magic et Disney Wonder. Ces ­navires ­explorent les Caraïbes, l’Alaska et la Méditerranée. Deux autres navires sont en construction. Ils seront ­livrés en 2021 et en 2023. Disney a aussi des navires qui ­naviguent sur le Rhin et le Danube, ­offrant en tout plus de 30 itinéraires. ►Pour info: adventuresbydisney.com

Si ce sont les croisières qui vous attirent, sachez qu’il vaut mieux vérifier quels personnages sont à bord du ­navire. Pour les enfants, la présence de leurs personnages favoris peut faire une très grande différence. Par exemple, sur le Disney Wonder, on trouve beaucoup de princesses, alors que c’est sur le Disney Dream que se trouvent les personnages de Star Wars.

Enfin, sachez qu’il vaut mieux réserver sa croisière très longtemps à l’avance pour bénéficier des meilleurs prix. Les réservations de dernière minute font exploser les prix, car il ne reste plus que des suites de luxe.

Cet article a été publié dans la Chronique Voyager sans souci du Journal de Montreal, ICI et du Journal de Québec, ICI.

 

 

15 choses à savoir pour les femmes qui voyagent seules

Peut-on vraiment combler son désir de voir le monde quand on est une femme seule? Bien sûr, c’est possible. Quelques petits trucs peuvent aider à rendre cette expérience des plus satisfaisantes. En voici 15…

Avant de partir

  • Bien s’informer sur les us et coutumes de la destination choisie. Ce qui est normal dans notre pays pourrait sembler de la provocation ailleurs. Il faut donc observer, faire preuve d’une grande ouverture d’esprit et s’adapter.
  • S’inscrire à un cours de langue. Connaître quelques mots attire la sympathie, permet de demander de l’aide en cas de besoin, mais c’est avant tout un merveilleux moyen de créer des liens.
  • Prendre un petit cours d’autodéfense spécialement conçu pour les femmes. En plus d’aider à maîtriser ses peurs, cela insuffle une bonne dose de confiance, appren­d à mieux analyser une situation à risque, à désamorcer une confrontation par la parole, mais aussi à improviser des armes avec ce qu’on a sous la main et même à maîtriser son assaillant.
  • Porter une alliance. Ce choix exige cependant d’être cohérente et de dire non à toute forme de séduction. Flirter avec la bague au doigt enverrait le message d’une femme à la recherche d’aventures.
  • Dans son téléphone cellulaire, inscrire les coordonnées de l’ambassade du Canada du pays visité. Une fois sur place, ajouter les différents numéros d’urgence.

Dans sa valise

  • Apporter des vêtements sobres qui n’attirent pas trop l’attention. On évite la transparence, les décolletés plongeants, les bijoux précieux, etc. On ajoute un grand foulard ou un châle. Cet accessoire pratique, glissé dans le sac, aura de multiples usages, autant pour se cacher les cheveux dans les lieux religieux, que pour se couvrir les épaules après un coup de soleil.

Sur place

  • On essaie, autant que faire se peut, d’arriver au pays avant la tombée de la nuit. Même chose pour les différentes excur­sions.
  • Même si ce n’est pas nécessairement le cas, il faut essayer de dégager une grande confiance en soi et de savoir exactement ce qu’on fait.
  • Éviter les endroits isolés. S’informer s’il y a des rues ou des quartiers à éviter.
  • Prendre contact avec des femmes du pays. Elles sont généralement flattées qu’on leur adresse la parole et ravies de voir qu’on cherche à s’intégrer. Qui sait? Ce pourrait être le début de belles amitiés. Les marchés et les transports sont de bons endroits pour ces rencontres.
  • S’informer sur les sites qu’on veut visiter, le meilleur moyen de s’y rendre, le prix normal d’un taxi, etc. En général, les gens sont toujours heureux de faire découvrir les beautés de leur pays.
  • Rester vigilante et faire confiance à son intuition. Dès qu’on ressent un malaise, il vaut mieux s’éloigner.
  • Attention aux démonstrations d’affection. Par exemple, un petit bisou, considéré comme tout à fait innocent dans les pays latins, pourrait être fort mal interprété dans une autre culture.
  • Attention également aux flirts. La différence de culture peut entraîner de grands malentendus. Le regard que les hommes posent sur les femmes est une des premières causes potentiel­les de problèmes pour une voyageuse à l’étranger. Il vaut toujours mieux conserver une certaine distance et appren­dre à dire non rapidement et ferme­ment.
  • Enfin, faut-il vraiment ajouter de ne pas ouvrir la porte de sa chambre d’hôtel à un inconnu? De ne pas faire de stop? Et de faire attention avant d’accepter une boisson d’un étranger? Bref, dans un pays étranger comme partout ailleurs, place au GROS BON SENS.

Pour plus d’information: la section «Voyager au féminin» du site officiel du Gouvernement du Canada.

À Lire: Le voyage pour les filles qui ont peur de tout, d’Ariane Arpin-Delorme et Marie-Julie Gagnon, chez Michel Lafon.

Ce texte est paru dans la Chronique Voyager sans souci du Journal de Montréal ICI et dans le Journal de Québec ICI

 

10 trucs pour augmenter son confort en avion

À moins de faire partie des privilégiés qui voyagent en classe affaires, force est d’avouer qu’il est de plus en plus difficile de vivre dans le confort à bord des avions. Voici cependant dix trucs pouvant apporter un certain bien-être.

capture-decran-2016-12-07-a-13-30-18

1.  Pour éviter d’avoir à fouiller constamment dans la petite valise placée dans le compartiment à bagages, on glisse dans un sac tout ce dont on aura besoin en vol: médicaments, bouchons pour les oreilles, oreiller de voyage, petite couverture ou châle, livre, bouteille d’eau, etc. Placé sous le siège devant nous, ce sac est accessible en tout temps et évite d’avoir à se lever constamment pour fouiller dans le ­compartiment.

2. Si le temps le permet, on fait une marche rapide avant de se rendre à l’aéroport ou carrément dans la zone d’embarquement. Cet exercice compensera les longues heures assises à venir.

3. On choisit un siège en bout de rangée (surtout si l’on boit beaucoup). Ainsi, on ne dérange personne quand on se lève. Ne pas oublier que se lever et marcher favorise la circulation. Si le vol est long et qu’on ne veut pas (ou ne peut pas) se lever régulièrement, il faut contracter les mollets afin de faire remonter le sang.

4. On sait tous que les bouteilles d’eau ne passent pas la sécurité, mais si cette dernière est vide, aucun problème. Une fois dans la zone d’embarquement, on n’a qu’à la remplir aux fontaines situées près des toilettes. Ça ne coûte rien et ça permet d’éviter la gorge sèche si le service est lent à bord ou s’il est interrompu en cas de turbulence.

5. On prend un repas léger avant de monter à bord, ce qui permet d’attendre patiemment le service. Si c’est un vol sans repas, on apporte son propre repas (sandwich et même salade que l’on peut garder au frais en glissant une éponge congelée – elle passera la sécurité, contrairement au bloc réfrigérant) dans un sac Ziploc. On évite les boissons gazeuses, les légumineuses et on privilégie les fibres pour éviter les ballonnements intestinaux.

6. On porte des vêtements amples. Par contre, si l’on souffre de problèmes de circulation, le port de bas de soutien est recommandé. On enlève ses chaussures ce qui améliore la circulation sanguine. On les remplace par des bas chauds que l’on a pris la précaution d’apporter dans son sac.

7. On limite sa consommation d’alcool et même de café, thé et boissons gazeuses qui déshydratent, et l’on privilégie l’eau, qui hydrate.

8. L’air étant très sec dans un avion, il faut toujours avoir de petites serviettes humides avec soi. Il est important de bien humecter ses voies nasales régulièrement. Les microbes, bactéries et virus y adhéreront moins facilement. Si nos yeux s’assèchent facilement, on apporte aussi des gouttes pour les yeux, un baume pour les lèvres et un petit contenant de crème hydratante pour le visage et les mains. De plus, est-il utile de rappeler l’importance de se laver les mains?

9. Dormir permet d’arriver en meilleure forme à destination, mais ce n’est pas toujours évident. Dans un premier temps, on s’enveloppe dans une petite couverture, un chandail ou même un châle. Il est difficile de dormir quand on a froid. De plus, un long châle porté sur votre visage et votre corps aura la double action de cacher la lumière et de tenir au chaud. On peut également porter un masque (ramené d’un voyage en classe affaires). On éteint la lumière de lecture, on met les écouteurs avec sa musique préférée et l’on utilise les bouchons pour oreilles afin de réduire les bruits.

10. Quelques bonbons et de la gomme aideront à réduire la pression dans les oreilles au moment de l’atterrissage.

Cette chronique a été publié, sous ma signature, dans le Journal de Montréal et le Journal de Quebec. 

10 trucs pour réussir ses photos de voyage

Écrire dans un quotidien est un privilège, mais il arrive parfois que les contraintes de la publicité obligent les personnes en place à faire des choix. C’est ce qui est arrivé avec ma chronique aujourd’hui. Alors que je leur avais fait parvenir une chronique contenant 10 trucs pour mieux réussir ses photos de voyage, c’est devenu 8 trucs pour réussir ses photos de voyages.

Je remets donc ici le texte en entier ce qui ne vous empêche aucunement de vérifier le texte sur Journal de Montréal ICI et Journal de Québec ICI 

Courtoirie

Courtoirie

Voici donc le texte original:

 

On rêve tous de faire la photo parfaite. Malheureusement, la photographie est un art et les photos que l’on admire dans les magazines ou dans les livres de voyages ont été réalisées par des professionnels. De plus, ces derniers possèdent des équipements sophistiqués et de grande valeur. Il est cependant tout à fait possible, de réaliser de très belles photos avec de petits appareils, et même avec nos cellulaires. Mais pour cela, il faut respecter certaines règles. Voici 10 petits trucs qui devraient vous aider.

1 – La toute première chose à faire est, bien entendu de lire le mode d’emploi de votre caméra, d’essayer d’en comprendre toutes les subtilités et de ne pas hésiter à questionner des professionnels (en boutiques ou en magasins).

2 – Amusez-vous à bien observer les photos prises par les professionnels. Pourquoi les aimez-vous ? Qu’est-ce qui accroche votre regard ? Apprenez ensuite à former votre œil à voir ce qui vous entoure et à multiplier les essais avant le voyage.

  1. Évitez de photographier lorsque le soleil est à son zénith. Une lumière trop forte éblouit les objets et délave les couleurs tandis que les zones d’ombre deviennent noires et dénuées de détails. Préférez les moments où le soleil se rapproche de la ligne d’horizon.

4- En tout temps, assurez-vous de tourner le dos au soleil. C’est la personne photographiée qui doit être mise en lumière, sinon, on ne verra d’elle qu’une silhouette.

5 – Corrigez un contre-jour à l’aide du flash intégré. Si l’endroit que vous désirez absolument photographier est dos au soleil et que ce dernier est en face de vous, forcez le flash à se déclencher. Cela devrait aider à corriger le contre-jour.

6 – Si au contraire, le temps est gris, il vous faut alors jouer avec vos angles. Par exemple : une jolie chute, un lac et des arbres d’un beau vert feront une très belle photo, même par temps gris, selon la façon dont vous cadrez.

  1. Choisissez le bon mode scène (SCN) pour la situation. Même si vous utilisez le mode automatiques à 100 %, certains réglages permettent d’optimiser vos photos en précisant: Paysage (profondeur de champ), Crépuscule (enlève le soleil pour prendre la lumière ambiante), Nuit (augmente la sensibilité), Musée (désactive le flash et monte la sensibilité), Neige (surexpose pour que la neige soit blanche et non grise), Portrait (met l’accent sur le sujet principal).

8 – Ne jamais positionner le sujet au centre de la photographie ce qui le banalise. Respecter la règle des tiers. Pour comprendre cette dernière, dessinez un rectangle, séparez le en 3 sections horizontales et verticales. Vous aurez alors 9 sections. Placez votre sujet au croisement des lignes. Votre image sera ainsi plus dynamique.

9 – La règle des tiers s’applique aussi en profondeur. Votre sujet principal étant au centre (un lac par exemple) et votre arrière-plan une montagne, utilisez un avant plan pour démontrer la distance ou la grandeur. Ce peut être un objet petit et en périphérie de l’image (ex un canot rouge). Attention, è ne jamais cacher votre arrière- plan avec le sujet (se placer devant une pyramide).

10 – Si vous désirez photographier quelqu’un qui fait face au soleil, il se peut que la personne ait de la difficulté à garder les yeux ouverts. Suggestion : demandez-lui de fermer les yeux et de les ouvrir au décompte de 3 en souriant. Dès qu’elle ouvre les yeux, photographiez immédiatement.

  • Un immense merci aux photographes Jean-François Landry et Andrew James Gentile de Gosselin Photo Video Inc pour leurs précieux conseils qu’ils partagent également lors de cours, ateliers, présentations et même des sorties spécialisées dont une axée principalement sur les photos de voyages (3h). Info : www.gosselinphotos.ca